Balise Fiction

<Small> Vincent et <Big> Jules n’ont encore jamais eu <a> bosser ensemble sur un contrat. Ils se sont donné rendez-vous au « <P><u><i>t<s> <B><a><s><q><u>e » (en français dans le texte - NDT -) , le bar le plus <select> du Queens. Lorsque Small Vincent arrive sur place  une armoire à glace (le patron sans doute) est en train de donner des ordres aux deux types qui descendent d’un camion : « Vous êtes en retard ! Déchargez l'al<col Group>ez les bouteilles par là-bas et quand ce sera fait passez à mon bureau. »
Une fois à l’intérieur il repère la table la plus proche des pistes de bowling et s’installe en face de l’homme qui semble passionné par le jeu.
Big Jules : Regarde ce type là-bas : il fait <strike> sur <strike>. Non mais t'as vu son <style> ?
Small Vincent : Ben moi tu sais, le bowling…
Big Jules : Ouais, bon… ok ! Tu as des infos sur le mec qu’on doit dessouder ?
Small Vincent : Le patron m’a mis sur l’affaire depuis quelques jours déjà. On l’appelle le <Col>onel, rapport à sa façon toute <param>ilitaire de gérer ses porte-flingues et parce qu’il crèche dans une sorte de <base> à la Fort Knox.
Big Jules : H<em>… Pas très engageant tout ça… Y <font> chier ces mecs à être aussi paranos ! Une <base... Font> vraiment chier ! Et du coup comm… A<tt>ends, voilà la serveuse.
La serveuse : Qu’est-ce que ce sera messieurs ?
Big Jules : Un bourbon ma j<ol><li>e… un double.
Small Vincent : Qu’est-ce que vous avez comme Islay ?
La serveuse : Ben le mieux c’est de regarder le <menu> ! Il est là pour ça, non ?
Small Vincent : Vous êtes charmante mademoiselle ! Et sinon… vous aimez votre job ? (sans attendre de réponse Small Vincent se met à lire le <menu> en question.) Ok… je prendrai un Caol Ila.
(La serveuse s’éloigne)
Small Vincent : Elle a vraiment une tête qui in<cite> à la violence tu ne trouves pas ?
Big Jules : En même temps je comprends qu’elle ne t’apprécie pas plus que ça : t’as vraiment une tête de tueur à gages ! hihihi lol mdrrrr (<- toutes les subtilités de la version américaine sont intraduisibles autrement - NDT - )
Pendant que Big Jules rit à s’en démettre la mâchoire, Small Vincent esquisse un sourire : décidément il aime bien son nouveau partenaire.
Small Vincent : Bon, pour en revenir au contrat j’avais pensé demander à la ch’<tit Le>a de nous aider à approcher de son Boss.
Big Jules : Tu parles de Lea Krüger ? Elle travaille pour lui ?
Small Vincent : Oui. Et elle me doit un service.
Big Jules : Ben je ne dis pas qu’elle est pas réglo et si elle pouvait <td> elle le ferait sûrement mais pour t'ai<dl> devrait trahir son patron et moi qui la connais bien je peux te dire qu’elle est du genre fi<del>e.
Small Vincent : Eh bien il faudra en plus lui graisser la patte…
Big Jules : Non, non ! Tu pourras pas l'<ht ml>ange jamais les sentiments et ce qu’elle appelle son « <code> de l’honneur ». En fait plus j’y pense et moins je vois comment on va pouvoir éviter de se débarrasser d’elle en premier.
Small Vincent : Mmm… Possible effectivement. Il va falloir que je revoie mon approche.
Big Jules : Bon écoute, tu vois qui c’est  Li<no Frames> ?
Small Vincent : Tu plaisantes ! C’est une <legend>e ce type ! On dit qu’il s’est chargé en personne de faire le ménage dans Chinatown et qu’il est le dernier caïd encore en vie dans le quartier. 
Big Jules : Oui… enfin… on a été quelques-uns à l’aider à l’époque. Toujours est-il qu’il a le bras long et… accessoirement c’est aussi le grand-père de mon fils.
Small Vincent : Ton fils ! Ah mais oui ça me revient maintenant. Il a deux filles… il me semble que la moche c’est Suzy et <label>le c’est Betty.
Big Jules : Euh c’est exact... j’ai eu un gosse avec la « moche »
Small Vincent : Oups ! Désolé Jules !
Big Jules : Y a pas de mal. Et puis elle est bien plus sympa que sa soeur. De toute façon on n’est plus ensemble mais je suis toujours en contact avec Lino. Je vais l’appeler et voir s’il ne pourrait pas nous dépanner. Si tu es d’accord on…
(La serveuse apporte les verres, encaisse et s’en va)
Big Jules : Si tu es d’accord on voit ça chacun de notre côté et on se retrouve dans deux heures chez moi. Voilà l’<address>e (il lui tend une carte de visite).
Small Vincent : Pompes funèbres… classe ! OK on fait comme ça. Cheers !
(Ils vident leur verre d’un trait)

1h53 plus tard Small Vincent descend du <tr>am à deux pas de chez Jules.

Small Vincent : Salut p’tit gars ! Comment qu'<t bo dy> donc ! (Il se tourne vers Big Jules) T’es sûr que c’est bien ton gamin ? (Big Jules esquisse un sourire : décidément il aime bien son nouveau partenaire.)

Big Jules : Mets-toi à l’aise… installes-toi sur le <div>an.

Le gosse : <H1>
Big Jules : Touché.
Le gosse : <H2>
Big Jules : Touché.
Small Vincent : Est-ce que je dois vraiment <sub>ir ça ?

[...]

Le gosse : <H6>
Big Jules : Ah l'in<frame> pirate ! Il vient de couler mon porte-avions !
Small Vincent : Euh… on dit pas infâme plutôt ?
Big Jules : Ben non ! In<frame Set> écrit comme ça dans le Little Robert (dictionnaire très répandu aux USA - NDT -)

Small Vincent : <Abbr>acad<abbr>a ! (Il fait mine de sortir un billet de 100 dollars de derrière l’oreille du gosse)
Big Jules : <Br>avo Vince ! T’es <input>ain de magicien vieux !

Big Jules : Bon maintenant tu <field... Set> fois-ci il est pas question que ta mère me casse les oreilles parce que t’as l’air d’un zombie quand tu retournes chez elle. Et puis il me semble bien que t’as tout un <text a rea>pprendre pour demain, non ? Et estimes-toi heureux que j’ai réussi à convaincre ton prof de te laisser une seconde chance !

(Small Vincent jette un œil au bouquin sur la <table> de nuit : <The Ad>ventures of Tom Sawyer).

Big Jules : Tu veux pas que je vienne te <border> non plus ?

Small Vincent : Ce mec est quand même d’une bêt<isindex>criptible ! Il a reçu un <ul>timatum du patron (l’in<script>ion gravée au couteau sur le cadavre de son garde du corps était plus que claire) et pourtant son comportement n’a pas <var>ié d’un iota !

Big Jules : En gros si je résume le plan c’est : <samp>itié, <pre>voir un bain de sang, isoler le <col>onel dans son bureau. Là on le <block quote> à côte et on lui fait la peau. Au passage <sup>primer tous les témoins. Et en <option> ramener la mallette si on tombe dessus. Tu vois une <object>ion ?
Small Vincent : Une seule : à priori <span>écessaire de s’occuper <dt>moins puisqu’on sera masqués.

(En voiture, <dir>ection la <base>)
Small Vincent : C’est quoi ce qu'on écoute déjà ?
Big Jules : Un best of Louis Arm<strong>

Big Jules : Ecoute Vince, j’te trouve chouette alors faut que je te parle d’un truc : les gars disent que t’es complètement accro à l’héro et ç<applet> pas à tout le monde. On dit que t’es pas fiable.
Small Vincent : Non mais <tfoot>oi ! J'suis pas <acronym>porte quoi ! Tu vois bien que je suis en pleine <form>e !

Big Jules : Bon comme t’as été sage tu as droit à <map>ensée du jour : « il ne faut pas craindre <link>onnu car c’est ce qui donne du sens à la Vie ! »
Small Vincent : Waw ! T’es <input>ain de philosophe  vieux ! Par contre j’ai rien compris !

(A l’entrée de la base)
Le garde : Tu peux rentrer mais <center> armes mon pote !

Small Vincent : <Meta> cagoule ! On y va !

Big Jules : Si tu as peur qu’on l<area>nime tu n'as qu'à la finir à la <hr>isque pas de se défendre des masses vu qu'elle baigne déjà dans son sang.

Big Jules : <Ins>ultes-moi tant que tu veux mais je te promets que tu vas me dire où se trouve cette foutue mallette !

Small Vincent : OK ! <Button>s ce salopard.

Small Vincent : T'as <kbd> ça ira plus vite…
Big Jules : Tiens, tu te serais pas un peu enrhumé toi ?
Small Vincent : Bof… beut-êtr’ un peu… mais j’suis surtout <blink>omme une barrique.
Big Jules : Bon OK j’ai compris. Passes-moi la pelle.